DE LA CROIX Léonard
& STERN
Leopold
Leopold
Nouveau colocataire, nouvelle chambre...
Léonard venait d'arriver pour une nouvelle année à la Hampton Academy. Encore une année à supporter les délégués qui profitent de leur pouvoir, encore une année à faire n'importe quoi avec son meilleur ami, et encore une année à tenter de discuter avec les filles. Surtout avec sa tutorée. Bon sang, il pensait échapper aux filles en se proposant pour les tutorats, ayant bien précisé que c'était un garçon et que la Hampton Academy avait l'air contre la mixité garçon/fille - s'il se référait aux dortoirs. Mais non. Solveig Sekai ayant vécu en France, on lui avait dit que ce serait plus simple pour tout le monde. En réalité, Léonard était persuadé que c'était pour l'humilier. Mais peut-être était-il parano ?
L'après-midi était toujours aussi chaude, restes de l'été. Léonard avait ôté sa veste d'uniforme pour être plus à l'aise, ses cheveux blonds en bataille commençaient à coller son visage, du à la transpiration. Sa chemise était déjà en train de prendre les formes de son torse à cause de la sueur. Léonard avait hâte d'entrer dans le bâtiment. Cependant, la vue de la devanture de l'école était magnifique. La flore était travaillée à la française : tout était taillé et symétrique. Les couleurs étaient ajoutés par les pétales des fleurs de toute sorte : coquelicot, pissenlits, marguerites, roses... Les pavés sur le sol accentuaient la beauté de l'endroit, ajouté à cela le ciel d'un bleu époustouflant et le soleil illuminant toute la splendeur de l'école.
L'admiration dura peu de temps, et au final, c'était au plus grand bonheur de Léonard qui allait pouvoir profiter de la climatisation. Il pénétra alors dans le bâtiment, et ne fut pas vraiment surpris de l'intérieur. Tout était luxueux, des peintures partout, les murs hauts de plus de trois mètres, des escaliers comme dans les châteaux... Tout était magnifiquement sculpté et pensé. Mais surtout : il faisait frais.
Sa valise dans la main, il salua deux trois personnes qu'il connaissait de vue ou bien venant de sa classe, et tapa la discute avec d'autres personnes. Tous étaient souriants, quoique tous exprimaient la même lassitude due à la rentrée. Léonard, lui, garda le sourire qu'il communiqua aux autres.
Il partit rapidement, voulant se débarrasser de ses bagages le plus vite possible.
Il voyagea un peu dans le bâtiment jusqu'à trouver sa chambre - ce qui ne fut pas très compliqué puisque c'était la première chambre - et l'ouvrit
à clé. Bien, son colocataire n'était pas encore là. Stern Leopold, il s'appelait.
Il avait apparemment un an de plus que lui. Léonard soupira.
Il entra donc dans la chambre, en prenant soin de fermer la porte une fois à l'intérieur, et choisit son lit. Premier arrivé, premier servi.
Il déballa ses affaires de sa valise, et ouvrit une armoire. Il commença doucement à ranger ses affaires, vidant peu à peu ses bagages.
L'après-midi était toujours aussi chaude, restes de l'été. Léonard avait ôté sa veste d'uniforme pour être plus à l'aise, ses cheveux blonds en bataille commençaient à coller son visage, du à la transpiration. Sa chemise était déjà en train de prendre les formes de son torse à cause de la sueur. Léonard avait hâte d'entrer dans le bâtiment. Cependant, la vue de la devanture de l'école était magnifique. La flore était travaillée à la française : tout était taillé et symétrique. Les couleurs étaient ajoutés par les pétales des fleurs de toute sorte : coquelicot, pissenlits, marguerites, roses... Les pavés sur le sol accentuaient la beauté de l'endroit, ajouté à cela le ciel d'un bleu époustouflant et le soleil illuminant toute la splendeur de l'école.
L'admiration dura peu de temps, et au final, c'était au plus grand bonheur de Léonard qui allait pouvoir profiter de la climatisation. Il pénétra alors dans le bâtiment, et ne fut pas vraiment surpris de l'intérieur. Tout était luxueux, des peintures partout, les murs hauts de plus de trois mètres, des escaliers comme dans les châteaux... Tout était magnifiquement sculpté et pensé. Mais surtout : il faisait frais.
Sa valise dans la main, il salua deux trois personnes qu'il connaissait de vue ou bien venant de sa classe, et tapa la discute avec d'autres personnes. Tous étaient souriants, quoique tous exprimaient la même lassitude due à la rentrée. Léonard, lui, garda le sourire qu'il communiqua aux autres.
Il partit rapidement, voulant se débarrasser de ses bagages le plus vite possible.
Il voyagea un peu dans le bâtiment jusqu'à trouver sa chambre - ce qui ne fut pas très compliqué puisque c'était la première chambre - et l'ouvrit
à clé. Bien, son colocataire n'était pas encore là. Stern Leopold, il s'appelait.
Il avait apparemment un an de plus que lui. Léonard soupira.
Il entra donc dans la chambre, en prenant soin de fermer la porte une fois à l'intérieur, et choisit son lit. Premier arrivé, premier servi.
Il déballa ses affaires de sa valise, et ouvrit une armoire. Il commença doucement à ranger ses affaires, vidant peu à peu ses bagages.