Avec l'alcool, la fête est plus folle !
+ Feat Beaucoup de gens
Elle avait une boule de feu dans l'estomac, et il y avait deux raisons à cet incendie qui prenait de plus en plus de place dans son ventre. La première, et la plus évidente : l'alcool. Mais tout ce qu'elle sentait, c'était l'excitation grandissante qui partait de son nombril. Elle sautait d'un pied sur l'autre, les yeux rivés sur Olga, sans prendre en compte le regard que lui lançait son collègue.
Elle voulait des ragots, des choses à raconter !
« Hé bien.. je ne sais pas. C'est compliqué je dirai... »
Wylia rit comme si c'était la blague la plus hilarante du monde. Elle n'arrivait plus à s'arrêter, mais ça n'avait pas l'air de toucher la cantinière. De toute façon, elle pouvait comprendre qu'Olga ne tienne pas compte de cette hilarité inapproprié vu l'état d'ébriété dans lequel elle était.
Et dire qu'une fois sobre, elle s'en voudra toute sa vie pour s'être montrée si irresponsable face aux élèves.
Elle écouta cependant la suite de son petit monologue, attentive.
« Il est grand déjà, ce que j'aime chez les hommes en général. Les nains, m'voyez, c'est pas avec eux qu'on a de beaux enfants. »
Elle tenta de s'abreuver pendant qu'elle écoutait Olga, mais ce fut à peine si une goutte daigna descendre dans sa gorge. Elle regarda le fond de son verre avec une pointe de déception, avant de poser ses yeux sur la femme de cantine, désespérément amoureuse du professeur de littérature.
Elle l'observa avec un grand sourire, les yeux pétillants de malice.
« Et aussi, il a un sacré humour. Voilà ce qui a fait balancer mon petit coeur. »
Son sourire l'élargit en l'entendant si sincère et pleine d'espoir. Si la Wylia sobre lui aurait ouvert les yeux avec gentillesse et bienveillance, la Wylia complètement ivre voulait juste lui rire au nez comme si c'était la chose la plus stupide qu'elle avait entendu de toute sa vie.
Soudain, tous les regards furent happés par la scène, et par la fameuse Déléguée en chef. Wylia n'avait pas toujours pas compris l'utilité de ces délégués, mais ils n'étaient pas méchants et permettaient à la professeur de mathématiques de se défouler avec des fêtes de qualité, avec de l'alcool, de la bonne musique, et des histoires à mourir de rire.
Il fallait cependant qu'elle lui accorde une chose : cette jeune fille avait de la prestance et de l'allure. Elle pourrait faire de l'ombre à certains professeurs qui ne se faisaient pas encore respecter par leur élève.
« Mesdemoiselles, je pense qu'on va avoir le droit au résultat du concours ! »
Aiji semblait profiter de cette apparition pour changer totalement de sujet. S'il pensait s'en tirer à si bon compte...
Wylia en profita, quant à elle, pour s'approcher discrètement de Olga pendant les résultats du concours, et de lui glisser :
" Tu devrais tenter ta chance, tu sais... On sait jamais !"
Puis elle lui lança un regard lourd de sous-entendus avant de se placer à nouveau, aisément, à côté de son collègue. Mais c'est alors qu'il se mit à éclater de rire. Elle le dévisagea avec les yeux ronds, comme si elle observait un homme en train de convulser. Et pourtant, elle ne fit rien d'autre que de le regarder.
« Seigneur, qui aurait cru voir ce gars-là déguisé en femme hein ? C'est de son humour dont vous parliez Olga ? »
Wylia haussa un sourcil, puis comprit en apercevant Jamie Willow se diriger pour une danse romantique avec le jeune Léonard de la Croix. Wylia le rejoignit alors dans son fou rire, son hilarité transperçant la musique douce. Elle n'hésita pas à le pointer du doigt, et à chaque fois que ses yeux s'ouvraient sur la soubrette, son hilarité reprit de plus belle. Elle sentit même sa vessie faiblir et son ventre souffrir à cause des vibrations.
D'un geste maladroit, elle s'appuya sur l'épaule de Aiji, son rire s'essoufflant, les larmes aux yeux :
" Mon Dieu, mais qu'est-ce que c'est que ça ?!"
Elle suivit l'initiative de certains élèves et leva son téléphone pour filmer la scène, ne serait-ce que quelques secondes. La vidéo ne serait pas de qualité vu les tremblements qu'elle avait, mais au moins elle aurait un souvenir de ce professeur de français, totalement ridicule dans son costume. Elle se demandait comment il en avait eu l'idée, puis soudain elle s'exclama :
" Aiji ! Tu veux pas te changer en soubrette, toi aussi ?! Ce serait énorme !"
Elle voulait des ragots, des choses à raconter !
« Hé bien.. je ne sais pas. C'est compliqué je dirai... »
Wylia rit comme si c'était la blague la plus hilarante du monde. Elle n'arrivait plus à s'arrêter, mais ça n'avait pas l'air de toucher la cantinière. De toute façon, elle pouvait comprendre qu'Olga ne tienne pas compte de cette hilarité inapproprié vu l'état d'ébriété dans lequel elle était.
Et dire qu'une fois sobre, elle s'en voudra toute sa vie pour s'être montrée si irresponsable face aux élèves.
Elle écouta cependant la suite de son petit monologue, attentive.
« Il est grand déjà, ce que j'aime chez les hommes en général. Les nains, m'voyez, c'est pas avec eux qu'on a de beaux enfants. »
Elle tenta de s'abreuver pendant qu'elle écoutait Olga, mais ce fut à peine si une goutte daigna descendre dans sa gorge. Elle regarda le fond de son verre avec une pointe de déception, avant de poser ses yeux sur la femme de cantine, désespérément amoureuse du professeur de littérature.
Elle l'observa avec un grand sourire, les yeux pétillants de malice.
« Et aussi, il a un sacré humour. Voilà ce qui a fait balancer mon petit coeur. »
Son sourire l'élargit en l'entendant si sincère et pleine d'espoir. Si la Wylia sobre lui aurait ouvert les yeux avec gentillesse et bienveillance, la Wylia complètement ivre voulait juste lui rire au nez comme si c'était la chose la plus stupide qu'elle avait entendu de toute sa vie.
Soudain, tous les regards furent happés par la scène, et par la fameuse Déléguée en chef. Wylia n'avait pas toujours pas compris l'utilité de ces délégués, mais ils n'étaient pas méchants et permettaient à la professeur de mathématiques de se défouler avec des fêtes de qualité, avec de l'alcool, de la bonne musique, et des histoires à mourir de rire.
Il fallait cependant qu'elle lui accorde une chose : cette jeune fille avait de la prestance et de l'allure. Elle pourrait faire de l'ombre à certains professeurs qui ne se faisaient pas encore respecter par leur élève.
« Mesdemoiselles, je pense qu'on va avoir le droit au résultat du concours ! »
Aiji semblait profiter de cette apparition pour changer totalement de sujet. S'il pensait s'en tirer à si bon compte...
Wylia en profita, quant à elle, pour s'approcher discrètement de Olga pendant les résultats du concours, et de lui glisser :
" Tu devrais tenter ta chance, tu sais... On sait jamais !"
Puis elle lui lança un regard lourd de sous-entendus avant de se placer à nouveau, aisément, à côté de son collègue. Mais c'est alors qu'il se mit à éclater de rire. Elle le dévisagea avec les yeux ronds, comme si elle observait un homme en train de convulser. Et pourtant, elle ne fit rien d'autre que de le regarder.
« Seigneur, qui aurait cru voir ce gars-là déguisé en femme hein ? C'est de son humour dont vous parliez Olga ? »
Wylia haussa un sourcil, puis comprit en apercevant Jamie Willow se diriger pour une danse romantique avec le jeune Léonard de la Croix. Wylia le rejoignit alors dans son fou rire, son hilarité transperçant la musique douce. Elle n'hésita pas à le pointer du doigt, et à chaque fois que ses yeux s'ouvraient sur la soubrette, son hilarité reprit de plus belle. Elle sentit même sa vessie faiblir et son ventre souffrir à cause des vibrations.
D'un geste maladroit, elle s'appuya sur l'épaule de Aiji, son rire s'essoufflant, les larmes aux yeux :
" Mon Dieu, mais qu'est-ce que c'est que ça ?!"
Elle suivit l'initiative de certains élèves et leva son téléphone pour filmer la scène, ne serait-ce que quelques secondes. La vidéo ne serait pas de qualité vu les tremblements qu'elle avait, mais au moins elle aurait un souvenir de ce professeur de français, totalement ridicule dans son costume. Elle se demandait comment il en avait eu l'idée, puis soudain elle s'exclama :
" Aiji ! Tu veux pas te changer en soubrette, toi aussi ?! Ce serait énorme !"
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