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Elyonne Tarawood

Informations générales


Nom : Tarawood
Prénom : Elyonne
Âge : 16 ans
Date de naissance : 15/02/2002
Date d'arrivée à Hampton Academy : 02/09/2014
Nationalité : Britannique
Origine(s) : Canterbury
Classe : Year 12
Groupe : Modestes
Taille : 1m55
Poids : 40kg
Orientation sexuelle : Indéfinie
Avatar : Amami Haruka (THE iDOLM@STER)


Physique & Caractère


Elyonne a la bouille d'ange d'une gamine qui n'a jamais vraiment grandi. Souriante, sautillante et d'autre trucs en "-ante", on a du mal à croire qu'elle a seize ans, que la loi la considérera bientôt comme une adulte, que le monde la considère déjà comme une adolescente. Vous êtes sûrs qu'elle est au lycée ?

Grands yeux innocents, joues qui n'ont pas encore perdu toutes les rondeurs de l'enfance, petite taille du haut de son mètre 55 et maigrichonne à souhait, si elle n'avait pas un semblant de poitrine, on aurait du mal à lui donner son âge. C'est encore pire quand elle commence à parler et à bouger : ce n'est pas une boule d'énergie ambulante comme on pourrait s'y attendre, mais elle a une voix assez aiguë et des expressions et des mimiques qu'on laisse normalement derrière soi en atteignant la puberté. Elle vous tirera la langue si elle n'est pas d'accord avec vous, dort avec un doudou malgré les moqueries de certains de ses camarades de classes et se cache dans une cabane en oreillers, couettes et doudou quand elle veut lire en paix. Et future littéraire ou pas, quand elle ne lit pas pour les cours, elle passe plus de temps plongée dans des livres jeunesse et fantasy que de la grande littérature. D'ailleurs, si vous ouvrez son sac (décoré de cinquante stickers, graffitis et pins en tout genre), vous trouverez probablement un tome de Harry Potter, de Cherub ou un de ses préférés : Harriet the Spy.

Parfois, elle plantera ses grands yeux bleu-vert dans les vôtres comme si elle essayait de lire dans vos pensées. D'autres fois, elle ne vous retournera qu'un regard vague, trop occupée à regarder la coccinelle qui s'est posée plus loin. Elle a toujours l'air émerveillé, le sourire un peu vague flottant sur les lèvres. Son expression n'est pas gravée dans le marbre, bien sûr, mais ses crises de larmes sont aussi rares que ses grands sourires francs. Vous aurez droit aux petits sourires et à l'expression vaguement triste, mais c'est tout.

Elyonne a eu les cheveux longs pendant une assez longue période de sa vie. En fait, toute la période où son père était encore là. Il refusait qu'elle les coupe, et elle refusait de les attacher pour faire du sport, prenant un malin plaisir à chaque fois que son prof de sport allait s'en plaindre à son abruti de père. Maintenant, elle ne les laisse jamais dépasser ses épaules et elle se coiffe un peu n'importe comment. L'important, c'est qu'elle n'ait pas une boule de nœuds sur la tête, parce qu'elle n'est pas un pokemon. Ils sont passés par plusieurs couleurs quand son père est parti, mais elle a fini par leur rendre leur couleur naturelle, le châtain clair avec de discrets reflets roux qu'elle aime finalement beaucoup.

Ce n'est pas une grande excentrique. Elle ne va pas porter des vêtements ou des coiffures totalement improbables, mais elle aime beaucoup les couleurs vives, qui s'accordent bien avec ses yeux. Le rose, le rouge et le bleu électrique, surtout. Ce n'est pas au goût de tout le monde et, même s'il lui arrive aussi de porter du blanc et du noir "simples", on lui dit souvent qu'elle pique les yeux. C'est pas qu'elle s'en fout, mais un peu quand même. Elle porte jeans, jupes et shorts sans distinction et sans considération pour la météo. Il fait froid ? Et alors ? Un petit legging sous son short et le tour est joué.

Elle porte souvent des choses sur sa tête : ruban, fleur ou autre déco, lunettes de soleil, chapeau, serre-tête, bandeau, elle aime avoir une petite déco quelque part. Même si c'est juste un petit strap pour téléphone qui retombe délicatement sur son oreille... ou sur son épaule. À son grand regret, elle ne sait pas du tout marcher avec des talons, elle est donc condamnée à faire éternellement 1m55. Sandalettes ou baskets, ça dépendra de sa tenue. Elle sait juste qu'elle déteste les ballerines et les converses, qui lui détruisent les pieds à niveau égal avec leur absence de semelle épaisse.

Mais son physique n'est pas qu'une question d'apparence. Le corps d'Elyonne fait parfois des siennes. Si on ne compte plus les bleus qui ornent sa peau qui marque bien trop facilement, ceux qui la connaissent dans un cadre un peu plus privé savent qu'elle est myope depuis pas mal d'années maintenant, et qu'elle a remplacé ses lunettes par des lentilles au moins aussi vite. Comme elle sait que ses yeux ne toléreront pas les lentilles éternellement, elle porte des lunettes dès qu'elle n'est plus en cours. Pour les sorties scolaires et les week-end, elle porte des lunettes de soleil adaptées à sa vue, idem pour les lunettes de piscine. Tant que personne ne lui demande de les essayer, ça passe inaperçu.

En plus de ça, elle souffre d'une intolérance au gluten depuis toute petite. Ne pas pouvoir manger de pâtes ou de pizza ou de crêpes ou n'importe quoi contenant du blé l'a beaucoup frustrée dans son enfance, mais maintenant ça fait partie de ses habitudes. Et elle bénit autant qu'elle maudit la nouvelle mode su sans-gluten : ça lui permet de goûter plus de choses, mais ça la fait aussi passer pour une simple victime de cette mode alors qu'elle, elle n'a pas le choix.



Elyonne n'est pas une adolescente. Oh, bien sûr, d'un simple point de vue d'âge, si, mais pas quand on fouille un peu dans sa tête.

C'est l'enfant qui n'a jamais voulu grandir, celle qui regardait les autres "jouer aux grands" en haussant les sourcils, qui ne comprenait pas pourquoi ils avaient tous hâte d'être adulte. Elle n'a jamais lâché ses habitudes d'enfant, sa vision d'enfant, même si vieillir lui a malgré tout ancré de nouvelles informations dans la tête et a un peu brisé son innocence. Mais elle a toujours un doudou, Ibebee qu'elle n'a pas lâché depuis ses deux ans, elle suce toujours son pouce en dormant, aussi, ce qui a le don d'énerver sa mère après tout l'argent dépensé dans son appareil dentaire pour réparer les effets de cette manie, elle se cache dans des châteaux de coussins, peluches et couettes pour être tranquille et il y a plus de doudous qu'il n'y a de lit sur son lit.  

Elle est allergique au changement. Plus qu'un simple état d'esprit, c'est presque une obsession. La première fois qu'elle a dû se débarrasser d'un vêtement devenu trop petit, il a fallu des jours pour l'en convaincre, et elle regarde encore les vieilles photos ou elle le porte avec une larme nostalgique. Elle est d'une stabilité psychologique si affirmée que la moindre décision qu'elle prend, et qui implique ne serait-ce qu'un  petit changement, surprend toujours son entourage. Autant dire que son choix soudain d'adopter l'idéologie bouddhiste en a cloué plus d'un sur place. Bien qu'elle ait beaucoup de mal à faire entrer l'idée que "tout change constamment" dans son esprit, elle croit dur comme fer à beaucoup des principes bouddhistes, comme le cycle des renaissances. Elle est assez détachée d'elle-même : très difficile à vexer, que ce soit sur son physique ou sur sa personnalité, elle fait de son mieux pour rejeter la colère et rester calme. Elle ne considère pas non plus son corps comme quelque chose de sacré, et son esprit d'enfant ne l'a pas empêchée de comprendre le principe du sexe, en soi. Mais même si elle n'est pas du genre à vouloir préserver à tout prix sa "pureté", elle est aussi très désintéressé. Disons qu'elle sautera peut-être le pas si elle est amoureuse un jour, mais l'idée de s'abstenir sans sentiments est arrivée dans sa vie avant le sexe, alors ne comptez pas sur elle si vous espérez juste une nuit sans lendemain.

Même si c'est une philosophie qu'elle a adoptée, Elyonne n'a que seize ans. Il y a beaucoup de principes qui entrent en contradiction avec sa réticence au changement d'abord, avec son corps en évolution ensuite. Éviter les paroles blessantes, les mensonges, la jalousie, par exemple, sont des préceptes qu'elle a du mal à suivre. Au final, elle a pour l'instant adopté les principes qui collaient déjà à sa philosophie de vie. Elle ne considère pas le bouddhisme comme une religion, et elle n'était pas prête à introduire tous les rituels dans sa vie actuelle, et même si elle tente la méditation de temps en temps, elle a plus adopté la philosophie que l'aspect pratique. Contrôler ses émotions et ses actes elle-même a, après tout, toujours fait partie de sa mentalité.

Ses goûts sont aussi soumis à sa rigidité psychologique. Elle est obligée de se faire violence pour goûter quelque chose qu'elle avait déjà qualifié de mauvais. Et même si elle aime ça la seconde fois, son esprit sera tant focalisé sur sa première impression qu'elle sera obligé de se persuader, à chaque fois, qu'elle ne déteste plus. Sans toujours trop de succès. C'est le cas pour les carottes, le jazz, le orange, les framboises et le poisson, entre autres. Et ce n'est même pas la peine de lui proposer du café, du thé ou du vin : elle a vu trop d'adultes en boire et reste persuadé qu'elle est trop jeune pour ça (une certitude qui durera sûrement toute sa vie). Pour les autres alcools, le peu de chance qu'elle a d'en boire est de se retrouver dans une situation où tout le monde le ferait. Car détachée ou pas, allergique au changement ou pas, Elyonne n'aime pas spécialement être totalement rejetée d'un groupe. Et s'il faut boire un peu d'alcool pour ça, eh bien soit, même si c'est contre ses préceptes.

Elyonne ne supporte pas qu'on lui dise ce qu'elle doit faire. C'est presque devenu maladif. Idéologie ou pas, si on essaye de lui donner un ordre un peu trop strict, elle risque de se buter, de se murer dans le silence ou juste de refuser d'un ton sec. Plus on insiste, plus elle se renferme, jusqu'à exploser. Et si elle ne vous hurlera pas dessus parce qu'elle contrôle plutôt bien sa colère, elle vous enverra paître de façon cinglante et, parfois, blessante. Elle n'aime pas non plus admettre ses erreurs, surtout depuis qu'elle a adopté un mode de vie qui affirme que chaque action a des conséquences sur soi et sur les autres. Et s'il y a bien une chose qu'elle ne supporterait pas, c'est d'avoir des conséquences négatives sur quelqu'un d'autre. Au moins respecte-t-elle le fameux "ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse", étant donné qu'elle n'est pas du genre à imposer sa volonté.

Elle est globalement satisfaite de sa vie. Malgré tout, ça ne l'empêche pas de ressentir pas mal de jalousie envers les autres, qu'elle n'est pas toujours prête à refouler. Ceux qui ont toujours eu le choix. Ceux qui s'adaptent facilement. Ceux qui aiment ou sont aimés sans difficulté. Mais si elle envie autant son entourage, c'est surtout parce qu'elle vit dans le passé : l'histoire n'est pas sa passion pour rien. Elle envie l'enfant qu'elle était, elle envie tous ceux qui vivaient à d'autre époques, sûrement des époques qui évoluaient moins vite, elle envie l'enfance et l'innocence des autres. Elyonne n'aime pas grandir – elle déteste ça, même. Et lui affirmer le contraire est la meilleure façon de disparaître de son cercle d'amis. Après tout, si vous considérez qu'elle veut grandir, c'est que vous ne la connaissez pas.
Que vous ne la comprenez pas. Et si vous ne la comprenez pas, vous n'avez rien à faire près d'elle.



Histoire


Elyonne n'est pas née à Londres. Contrairement à une bonne partie de ses amis, elle n'avait même jamais mis les pieds dans cette ville avant le secondaire.

Fille de Jenny Inkraven et Mickael Tarawood, elle est née à Canterbury au milieu de l'été. Elle a été fille unique pendant une très longue période de sa vie : son père ne souhaitait pas d'autres enfants, malgré les demandes de sa mère, et c'est donc Elyonne seul qu'ils ont élevée. Son intolérance au gluten s'est manifestée peu de temps après ses premiers repas, au grand dam de son père qui ne supportait déjà pas l'idée d'avoir une enfant imparfaite – obsession qui s'est amplifiée avec le temps. La petite Elyonne a donc dû suivre un régime sans gluten bien avant que ce soit à la mode, mais sa mère a réussi à gérer sans que le caractère perfectionniste de son père n'en souffre trop, et la possible souffrance liée à cette différence n'a jamais eu trop le temps d'apparaître.
À l'école, Elyonne avait l'énorme avantage de pouvoir manger ce qu'on lui préparait d'avance, un plat apporté par sa mère, évitant une cantine scolaire où les grimaces de ses camarades ne laissaient aucun doute sur la qualité des aliments. Ça ne l'empêcha pas de manger avec ses amis et de profiter de leur présence : le meilleur des deux mondes.

Ses années de primaire représentent les meilleurs moment de sa vie, et ce malgré le comportement exécrable de son père. Il est l'une des personnes au monde qu'elle a le plus de mal à supporter. Perfectionniste, autoritaire, il passait le plus clair de son temps à lui donner des ordres, à se lever de table pour corriger manuellement sa posture comme si elle était une simple poupée articulée et, s'il n'a jamais haussé le ton ou levé la main sur elle, elle a très vite considéré ça comme une forme de maltraitance. Sa liberté était opprimée, il la força à faire du volley dès son plus jeune âge en espérant qu'elle deviendrait une grande championne olympique, et aucune de ses protestations n'y changea rien. Elyonne n'a jamais spécialement aimé le sport, encore moins les sports d'équipe avec d'autres enfants qui trouvaient déjà le moyen de se moquer d'elle à ses neuf ans qu'elle elle avait encore son doudou dans son sac, mais son père ne prêtait pas attention à ce qu'elle voulait. Comme il était malheureusement seule rentrée d'argent à la maison depuis le licenciement de sa mère, quand Elyonne avait six ans, personne ne lui refusait le droit d'en faire ce qu'il voulait. Et ce qu'il voulait faire avec son argent, c'était lancer sa fille dans le monde du sport.

De son côté, la petite se passionnait discrètement pour l'histoire et la préhistoire. Quand elle n'était pas plongée dans ses livres préférées, elle jouait les archéologues dans la cour de l'école et dans le bac à sable, volant des pinceaux en cours de dessin pour parfaire son imitation. Cette passion ne l'a pas quittée : l'histoire reste la matière dans laquelle elle excelle le plus, et l'archéologie le futur auquel elle se destine. Mais quand elle rentrait chez elle, elle était contrainte de se cacher, la nuit, pour continuer de lire tout ce qui concernait sa passion ; des ouvrages cachés sous son matelas tandis que ses étagères ne laissaient la place qu'à des manuels de volley jamais ouverts.

Sa vie prit un nouveau tour l'année qui précéda son entrée dans le secondaire. À treize ans, son père lui lança la phrase qui signifia la fin définitive du peu d'affection qu'elle ressentait encore pour lui : "Tu veux grandir ? Alors assume !" Elle l'a toisé avec l'air méprisant qu'elle réserve toujours à ceux qui la jugent sans la connaître, a lâché un simple "tu ne me connaîtras jamais", puis s'est enfermée dans sa chambre pendant deux semaines, qu'elle aurait sûrement passées sans manger si sa mère n'était pas venue déposer quelque chose devant sa porte tous les jours en lui murmurant des paroles apaisantes, la main sur le battant. Elyonne n'ouvrait jamais la porte quand quelqu'un se trouvait de l'autre côté, mais elle finissait toujours par récupérer furtivement les repas que lui apportait sa mère.

C'est depuis sa chambre qu'elle a pour la première fois entendu les disputes entre ses parents. Elle ignore si elle en est responsable et, honnêtement, elle s'en fiche. Elle s'en féliciterait même, si c'était le cas. Parfois, ça la concernait, elle entendait son père hurler parce qu'il payait des cours de sport pour une gamine ingrate et elle jubilait, à l'abri derrière dix centimètres de bois fermés à double-tour. Elle entendait sa mère lui lancer enfin au visage que c'était de sa fille qu'il s'agissait, et pas d'une vulgaire marionnette. Parfois, ça concernait un ami de sa mère, qu'elle connaissait bien et qui semblait susciter une jalousie dévorante chez son père. Toujours est-il que deux mois après le début de sa petite grève, elle rentra de l'école pour trouver sa mère seule, qui portait des valises et des cartons à l'extérieur et n'eut pour elle que quelques mots : "Je sais que tu ne veux jamais rien jeter, alors j'ai pris tout ce qu'il y avait dans ta chambre". Mais en l'aidant à tout entasser dans le camion qui les emmenait à la périphérie de Londres, Elyonne avait remarqué le carton marqué "volley" où sa mère avait tout réuni, alors que le reste de ses affaires étaient mélangées. Un grand sourire avait illuminé son visage : sa mère la comprenait, elle. Elle lui laissait le choix. Le carton, avec ses livres, ses tenues et son ballon, resta sur le trottoir, et elle se prit à espérer qu'une pluie d'été providentielle disperse tout avant que son père ne rentre.

Direction Londres, ou plutôt les environs. Une ville à un peu plus d'une heure de route de la capitale, principale raison pour laquelle Elyonne n'est pas allée dans une autre école, et le fait qu'elle a réussi à obtenir une bourse pour son implication scolaire. Le trajet était faisable, en bus, mais sa mère a préféré lui laisser un peu de confort et d'espace pour vivre sa vie et pour qu'elle n'ait pas à passer presque deux heures entre arrêt de bus et trajet interminable. Elle est donc entrée à Hampton en première année, quelques jours avant que l'ami de sa mère ne s'installe chez elle, en étant à ce jour bien plus qu'un ami.

Son allergie au changement a bien toléré cette nouvelle situation, au point de la placer dans sa normalité. Son beau-père était tout ce qu'elle aurait voulu voir chez son père : compréhensif et permissif, même si ses quelques moments d'autorité ne faisaient que pousser Elyonne à se rebiffer. Par respect pour sa mère, la seule adulte à la comprendre pendant toute sa vie, elle reste malgré tout silencieuse quand cet homme l’énerve, et les situations où c'est le cas se font rares. C'est aussi la période où elle a enfin pu se couper les cheveux et voir dans le miroir celle qu'elle avait toujours été : la même longueur et la même coiffure que quand elle avait six ans. Celle qu'elle n'avait jamais voulu lâcher mais que son père l'avait empêchée de garder. Par contre, elle a eu un peu plus de mal à la naissance de son petit frère, qui a aujourd'hui trois ans. C'était un changement trop radical et elle s'est surprise à rentrer de plus en plus tard pour les vacances, passant quelques jours chez des amis parfois, pour ne pas avoir à entrer dans cette environnement si peu familier.

Elle entame donc sa troisième année ici, avec toujours un net intérêt pour l'histoire qui se ressent dans ses notes, même si elle fait de son mieux dans les autres matières. Une chance que sa mère lui ait inculqué le goût du travail bien fait depuis son enfance, sinon elle aurait été capable de ne pas étudier sérieusement juste pour avoir une chance de rester au lycée. Mais plus le diplôme final approche, plus ses notes baissent : l'idée de grandir lui est trop désagréable pour qu'elle veuille atteindre l'état d'adulte que ce bout de papier lui conférera.



Vous et le forum

Surnom et âge : Martel/Nao/Ely, 23 ans
Comment avez-vous connu le forum ? Vous le savez .o.
Un petit commentaire ? J'ai pris mon temps mais je suis là .o.
Léonard De La Croix
Messages : 178
Date d'inscription : 03/02/2018
Age : 21
Gamin têtu et fourbe
Léonard De La CroixGamin têtu et fourbe
Hey ! Super contente de voir ta fiche postée !

Mon petit doigt me dit que tu vas être vite validée Baby Elyonne is here ~ 2675465465

Bienvenue je suppose ? XD
Anonymous
InvitéInvité
Holalala !!! Que voiiis-je ? Une Elyonne sauvage !!!!

Je suis heureuse de t'annoncer que tu es validée !
Tu seras dans la chambre G-04 en compagnie de Jessica Neal ! En espérant que la colocation se passera bien Very Happy

Pour la suite, tu peux aller t'inscrire à un ou deux clubs . Pour en savoir plus sur l'emploi du temps de ton personnage et d'autres informations utiles, tu peux passer à cet endroit !

Nous t'invitons également à créer ton carnet de correspondance (récap RP, relations et tout ça) ici où tu trouveras également le code pour ta carte étudiante à mettre dans ta signature (elle peut être sous spoiler) ! Tu peux également ouvrir un casier à ton nom.


Nous te demandons d'aller recenser tes matières ici, en sachant qu'en Year 12, tu peux choisir 4 à 5 matières.

Tu peux également aller faire une demande de rp si tu le désires pour te trouver des camarades de jeu ou bien répondre à celles déjà existantes.

Sur ce, je te souhaite officiellement la bienvenue parmi nous, et bon jeu ! Baby Elyonne is here ~ 763011991
Leopold Stern
Messages : 192
Date d'inscription : 28/01/2018
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Misanthrope moderne
Leopold SternMisanthrope moderne
Félicitations pour ta validation, bon retour parmi nous ! Baby Elyonne is here ~ 991997753
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La date/heure actuelle est Ven 10 Mai - 3:16
Baby Elyonne is here ~ Bouton11Baby Elyonne is here ~ 88-3110Aube des Mondes